Géraldine Oudin

Je suis traductrice du japonais et de l’anglais vers le français à temps plein depuis 2008.

Petite fille, je pressentais déjà que pour explorer cet ailleurs qui me faisait tant rêver, il me faudrait en maîtriser la, ou plutôt les langues. Je me suis donc lancée dans des études de japonais et d’anthropologie saupoudrées d’un peu de mandarin, d’hindi, de mongol et de tibétain avant de trouver ma voie : la traduction.

En 2013, j’ai été sélectionnée pour l’atelier franco-japonais de la Fabrique des traducteurs organisé par le Collège international des traducteurs littéraires (CITL), où je me suis perfectionnée pendant plusieurs mois sous la houlette de tuteurs chevronnés.

Depuis, je travaille principalement pour l’édition, en fiction et en non-fiction. J’adapte de nombreux mangas et romans graphiques et prête ma plume aux musées et galeries d’art pour leurs catalogues d’exposition.

Passionnée de botanique, je cultive une petite parcelle de bonheur dans un jardin familial. C’est bien souvent en arpentant cette terre de vigne ingrate et généreuse à la fois que se révèlent à moi, entre deux rangs de carottes, de scorsonères ou d’amarantes, les mots que je cherchais en vain.


Prix

  • Prix d’excellence du Concours de traduction littéraire du JLPP (Japanese Literature Publishing Project) sous l’égide du ministère japonais de la Culture (117 candidats du japonais vers le français).
  • Finaliste du Prix Konishi pour la traduction de manga à plusieurs reprises.

Interventions passées

  • Les Assises de la traduction littéraire, à Arles
  • Le festival BDFIL, à Lausanne
  • Les Rendez-vous de la bande dessinée d’Amiens
  • Les Mardis de l’ITIRI (Institut de Traducteurs, d’Interprètes et de Relations Internationales), à Strasbourg

Formation universitaire

  • MA en traductologie (université de Portsmouth, au Royaume-Uni)
  • MA en sciences sociales, spécialisé en anthropologie du Japon (EHESS Paris/université de Tokyo, au Japon)
  • Licence LLCE japonais (université de Strasbourg/université de Waseda, au Japon)

Formation professionnelle

  • École de traduction littéraire (Asfored, à Paris)
  • La Fabrique des traducteurs (Collège international des traducteurs littéraires, à Arles)
  • Certificat en interprétation de liaison (TAFE, en Australie)

Le petit plus

  • Diplôme en horticulture, niveau professionnel (Royal Horticultural Society, au Royaume-Uni)